
Keynes présentait les taux zéro comme l’arme de l’euthanasie du rentier. Il n’avait pas envisagé les modèles d’affaires actuels pour lesquels les taux zéro peuvent conduire à la disparition des banques, des assureurs-vie et de certaines sociétés de gestion, ainsi qu’à une réorganisation majeure des banques...